Je te demande, ô très Douce Dame...

 

 

Je te demande, ô très Douce Dame,

en souvenir de ta très sainte naissance,

daigne éclairer ma misérable et ténébreuse conscience

de la lumière d’un désir spirituel,

afin que rejetant les ténèbres

de la vanité de ce qui se passe

je mérite, par ton intercession,

les joies de la lumière de la vérité,

ô clémente, ô tendre, ô douce Marie !

 

 

ÉTIENNE DE SALLEY, 13e siècle.

 

Recueilli dans 2000 ans de prière et de poésie avec Marie,

textes choisis par le Père Gil FLORINI

présentés par le Père Jean-Marc LAINÉ,

Cahiers du 4e jour, no 8, 1985.

 

 

 

 

 

 

 

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