Dans la maladie

 

 

Rends-moi mes forces, ô Christ !

Comment celui qui t’honore serait-il détruit ?

La voix qui te chantait s’est tue.

Comment le permets-tu ?

Réconforte-moi, n’abandonne pas ton prêtre.

Je désire tant être de nouveau debout, en bonne santé,

chanter tes louanges et, pour toi, sanctifier ton peuple.

Je t’en prie, ô ma force, ne m’abandonne pas !

Si dans la tempête je t’ai trahi,

je veux revenir vers toi.

 

 

 

GRÉGOIRE DE NAZIANZE.

 

Recueilli dans Hymnes au Christ

d’avant l’an mille, Médiaspaul, 1982.

 

 

 

 

 

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